La route de silverado. western lw60

La route de silverado. western lw60 d'ailleurs phebus 1987, 14 x 20 cm, petit découpage du cachet de l'ancien proprio en page de garde blanche ,
500 pages , ne passe pas en lettre trop épais , mis à part la petite découpe livre en tbe
conquête de l'ouest , chercheurs d"or , l'aventure authentique des pionniers de l'ouest américains qui par la même occasions en ont profités pour déposséder les indiens de leurs terres !!!
livre peu courant voir asez rare , edition dans son format d'origine , ne pas confondre avec les rééditions en poche-pocket
frais de port 7,20

C'est avec La Route de Silverado que Michel Le Bris devait inaugurer (en 1987) le mouvement de retour à Stevenson : en fait, la véritable résurrection, chez nous, d'une oeuvre poliment conservée dans un demi-oubli… et désormais considérée comme l'une des sources les plus sûres de notre modernité. Michel Le Bris a travaillé plusieurs années à cet ouvrage, qui regroupe l'ensemble des textes (la plupart d'entre eux étaient restés inédits en français) que Stevenson a consacrés à son aventure californienne : – L'Émigrant amateur : étonnant récit de voyage à travers l'Atlantique, la Prairie américaine et les Montagnes Rocheuses. Y sont décrites, avec une précision et une justesse exemplaires (et non sans humour), les conditions de vie des émigrants pauvres lancés à la conquête de l'Ouest. On retrouve là tout le décor familier du western… mais saisi sur le vif, et évoqué par un écrivain qui a enfin trouvé son style – et qui en jouit ! – Les Capitales du Pacifique : la vie grouillante de San Francisco et de Monterey, capitales de l'Aventure à l'époque de la ruée vers l'or. – Les Squatters de Silverado (et le Journal de Silverado) : admirable évocation du monde sauvage. En compagnie de Fanny Osbourne, Stevenson va faire retraite dans une mine désaffectée. Une méditation sur la nature, sur la fièvre de l'or… et sur l'esprit d'aventure. – Quelques articles et lettres à des amis sur le thème du voyage et sur le mirage de l'or. L'ensemble de ces textes, présentés et commentés par Michel Le Bris, figure une sorte de « reportage initiatique » où la recherche des trésors enfouis se confond avec celle, souterraine aussi, de l'écriture libératrice. Au total : le premier grand livre de Stevenson… opinion énoncée par Henry James, littéralement ébloui à la lecture de ces textes

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire

Rechercher dans Récit de voyage

Additions Récentes

Blogger WidgetsRecent Posts Widget for Blogger